R. Tout d’abord, identifier le ou les centres d’artistes qui vous intéressent, les visiter, parler aux responsables en leur faisant part de votre volonté d’être membre. Ils seront alors en mesure de vous faire part de la façon de vous impliquer.
R. Un centre d'artistes autogéré est un organisme à but non lucratif (OBNL), dirigé par un conseil d'administration comptant une majorité d'artistes, dont l'activité principale est de favoriser la recherche, la diffusion et la production d'œuvres du domaine des arts visuels, des arts médiatiques et des arts interdisciplinaires. Ils mettent à la disposition des artistes des espaces, des équipements, des services, des ressources spécialisées et offrent à la communauté des activités telles des expositions, des conférences, des débats, des performances, des publications, des résidences et de la documentation.
R. Non. Par contre, il est vrai de dire que le réseau que forment les centres d’artistes québécois est probablement le mieux organisé et le plus solide au monde avec leurs collègues du Canada.
R. À l’Université du Québec à Montréal, où on enseigne l’art actuel, on affirme qu’il s’agit d’une nouvelle période de la création artistique apparue en l‘an 2000, faisant suite à celle appelée « art contemporain ». Pour d’autres, il s’agit de l’art généré par les centres d’artistes et les mouvements alternatifs, art lié à la recherche. Ainsi, en 1992, Marie-Josée Dauphinais signait un texte dans la publication Points de force : les centres d’artistes où elle mentionnait comme un fait « l’acceptation de l’art actuel. » La revue Inter (Québec) utilise également cette dénomination depuis fort longtemps. Enfin, on utilise fréquemment l’une pour l’autre les expressions « art actuel » et « art contemporain ».
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Ces contrats existent en français et en anglais.
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